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TO BE OR NOT TO BE, Peinture

Esthète passionné d’art, mais aussi de sciences

TO BE, OR NOT TO BE

Doute et Recherche identitaire, d’une CYBORG-CLONE.

Peinture digitale sur tablette Android, à l’aide d’un S-Pen, en utilisant l’application INFINITE PAINTER.

Je vous invite à visiter mon d’exposition sur le web, où j’exposé mes peintures....avec plus d’explication qu’ici et où je montre la peinture, tout le long de la réalisation...
À cette adresse : https://couvetpatrick-peintures-com.mystrikingly.com/


Recherche identitaire, d’une CYBORG-CLONE, en quête de sa nature véritable. F.P.I.R. ( peinture faciale identitaire rituelle ).....de la jolie CYBORG-CLONE Identité : entité V.E.N.U.S C_C.88 Peinture digitale sur tablette Android à l’aide d’un S-Pen, en utilisant l’application Android IN'FINITE PAINTER

Qui suis-je ?

Questionnement inévitable, que pourrait se poser, un CYBORG ?

Est-ce que le " Cogito ergo sum" ( Je pense, donc je suis ), du philosophe et mathématicien René Descartes, est suffisant...pour confirmer sa propre existence...

Si oui....alors il est possible .....

que cette belle créature cybernétique-organique, plus communément appelée CYBORG....puisse considérer qu’elle existe.....au même titre qu’un etre humain !

Peut-être, sera elle troublée ( bugs informatiques )...lors de rencontres avec des êtres humains, organiques.....

Peut-être, cela la menera-t-elle, à un questionnement existentielle, ou à minima, identitaire ?

La peinture faciale, peut-être un signe de ses doutes et interrogations...

Se peindre le visage....le corps.... n’est pas anodin.

Pratique millénaire, chez les humains......rarement en dehors des pratiques rituelles de groupes ( sauf dans nos civilisation où règne l’individualisme, l’égocentrisme et le consumérisme capitaliste )..

Voilà le thème de cette peinture digitale.











PEINTURE CORPORELLE explication issue d’un article du mouvement artistique "Wonderful Art" Il fallait être peint pour être un homme”. Quasiment toutes les sociétés tribales ont pratiqué la peinture corporelle grâce à l’argile ou au charbon de bois. Elle est utilisée lors de cérémonies rituelles religieuses, festives ou identitaires. Lorsque l’homme applique ces pigments sur son corps pour affirmer son identité, il est alors l’instrument d’une transformation éphémère. undefinedIl permet de rentrer dans un nouveau groupe social ou un nouvel état, en définissant ainsi l’appartenance à une communauté ou une position rituelle. La représentation de soi : Le caractère non définitif et donc la possibilité de renouveler à l’infini les motifs et leur symbolique, nous donne ainsi les prémisses d’une recherche identitaire (à l’inverse du tatouage et de la scarification, qui eux, sont définitifs). Le corps “identité » devient corps . Dans les sociétés amérindiennes, africaines, les peintures corporelles doivent être lus comme des messages. La peinture corporelle est comme une carte géographique qui identifie le porteur à un groupe socio-culturel. Pour les aborigènes d’Australie et certaines tribus d’Afrique, associée à la danse, la peinture devient le moyen de communiquer avec les ancêtres. Elles deviennent sacrées et extrêmement codifiées. Chez les aborigènes, la peinture corporelle a des graphismes différents selon qu’il s’agisse d’un rituel funéraire (dominance du blanc symbolisant la mort et les esprits) ou qu’il s’agisse de représenter son appartenance à un clan (graphismes plus complexes et chargés de symbolisme). La technique et les pigments qui sont utilisés sont identiques à ceux utilisés pour la peinture sur écorce. Chez les Manja, au sud du Tchad, les peintures corporelles sont utilisées par les jeunes hommes qui s’enduisent de noir, puis se peignent mutuellement des motifs en blanc et noir lors de leur initiation. En Afrique du nord et en Inde, le henné est utilisé lors de cérémonie de mariage ou religieuse. Dans les collines du Nuba Soudanais, la décoration faciale est élevée à un haut niveau d’exécution. Elle est un uniforme qui régie chaque tranche d’âge et n’est qu’exécutée que par les hommes de 17 à 30 ans. En Amérique du sud, les peintures corporelles sont des plus élaborées. Elles évoluent avec le statut d’un individu tout au long de sa vie et dans certaines traditions, elles deviennent un langage initiatique. Les couleurs universellement les plus importantes sont le rouge (ou brun), le noir, le blanc et l’ocre.

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